Nos ancêtres à Villers Poterie
Origine de propriété
Origine:Ancienne dépendance du domaine carolingien de Gerpinnes (villa Agrippina), la Seigneurie de Villers-Poterie a appartenu successivement a Aux familles de Loverval (fin 13è siècle), de Seraing (vers 1343), de Marbais (le 15 mai 1423), de Hun (24 juillet 1492), de Martigny (11 octobre 1570), de Namur (mi-17è siècle), de Marotte (24 octobre 1705), d'Udekem (5 janvier 1759).
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Jacques-François Joseph d'Udekem fut le dernier Seigneur de Villers en 1782. | ||||||||||||||||||
For many noble families, the French
Revolution brought an end to their privileges, but under the reign of
the Dutch King Willem I they were restored to honour. Jacques
François Joseph d'Udekem, who was seigneur of Acoz, Villers,
Potteries and Lasprelle before the French Revolution, was appointed
Baron in the Knighthood of Hainault in 1816. His son, Baron Gérard
François Xavier d'Udekem, resided in
"hotel d'Udekem d'Acoz" in Leuven. His grandson, baron Jacques
Albert Bernard d'Udekem, obtained permission in 1861 to bear the
title of Baron together with his father. In 1886, after he had sold the
castle of Acoz, he acquired the right to add d'Acoz to the family name.
The castle of Acoz was in possession of the House of Udekem since 1759,
when Catherine d'Udekem inherited it from her nephew, the Count of
Quiévrain (from the family de Marotte, into which Maximilien François d'Udekem
was married in 1676). |
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VILLERS-POTERIE
De 1705 à la fin de l'Ancien Régime, la
seigneurie appartint au seigneur d'Acoz. Selon le dénombrement du 15 mai 1783, elle consistait en :
droits de chasse et de pêche, du vingtième denier à chaque vente d'héritage ou création de rente, d'épave, d'afforage et d'établir tous officiers de justice; cens seigneuriaux:
Le fief seigneurial de Lanthenée, à
Gerpinnes, recevait du seigneur de
Villers-Poterie.
Les charges de la seigneurie étaient au
total de 14 muids 2 setiers d'épautre, 11 fI. 6 s. 8 d., six livres d'huile et 2 chapons. Villers-Poterie possédait une chapelle érigée en l'honneur de saint Martin, à laquelle était annexé un bénéfice dont le collateur était le seigneur du lieu; à l'origine, ce bénéfice était de 11 muids d'épeautre, dus par le seigneur, mais, en 1681, la rente avait été remplacée par 4 b. de terres de médiocre qualité, 2 b. de trieux et 1/2 b. de terre de bonne qualité. Les chiffres de la population évolua de la façon suivante:
La famille GRAVY était celle qui comptait le
plus de membres ( il y avait
5 chefs de famille de ce nom en 1763 et 1777) ; il faut citer aussi les familles
BOLLE, MENGEOT, ROMAIN.
Comme à Acoz le seul grand propriétaire
était le seigneur; en 1796- les
documents antérieurs n'existent plus, mais cette année peut servir de référence - hors lui-même et ses fermiers, tous les contribuables étaient taxés à moins de 10 sols, la plupart très au-dessous (assiettes des tailles, 15
nivôse
an V).
Pour ce qui est de la composition de la Cour de justice, nous n'avons découvert que très peu de pièces:
(7) Les bois appelés hauts droits étaient ceux où les manants ne pouvaient faire pâturer leurs bêtes.
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Les Bourgmestres
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Date de mise à jour : dimanche, 08. février 2009 20:33
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